Présentée au salon de genève en mars 2007, la première génération d'Audi A5, nommée 8T en interne, reçut un acceuil des plus enthousiate, marquant aussi le retour de la marque sur le segment des coupés depuis plus d'une décénnie, et son succés ne fut pas démenti avec une carrière longue de 9 années. Disponible dès sa sortie en déclinaison sportive S5, la version RennSport se fit quelque peu attendre et fut lancée 3 années plus tard. L'Audi A5 ayant été restyléé en 2012, la plus radicale RS bénéficira elle aussi des subtiles mises à jours esthétiques. 2016 marqua la fin de carrière de cette première génération, remplacée par une nouvelle A5 qui ne parviendra pas à égaler l'aura et la cote d'amour de sa devancière malgrè une fois encore d'indéniables qualités.
L'Audi A5 est l'oeuvre du designer italien Walter da Silva qui commença sa carrière chez Alfa Roméo avant de rejoindre le groupe VAG. On lui doit notament le déssin de L'Alfa Roméo 156 ou de la première génération d'Audi R8, néamoins il nommera l'Audi A5 comme étant sa plus belle réussite. Très élégante avec sa ligne de caisse ondulée, il s'en dégage aussi une réelle impréssion de solidité, ce qui en fait une auto rassurante à son bord, notament grace à des dimenssions généreuses supérieures à ses concurentes directes telles que la Mercedes CLK ou la BMW serie3 e92. Cette version RS se distingue bien entendu par des éléments de style plus aggéssif, plus suggestif que la S5 tout en restant malgrè tous dans la bonne mesure. L'autre point fort qui a beaucoup fait pour la renommée de la marque durant les années 2000, est sa qualité de fabrication intérieur qui ne souffre d'aucune critique et supérieur à la moyenne de la catégorie contemporaine.
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| Dans l'habitacle quelques spécificités telles que les inserts carbones. |
Bien connu le V8 4.2 à injection directe d'essence est repris de la R8 avec une nouvelle gestion électronique Bosh qui lui permet de gagner 30 cheveaux obtenus à un régime encore plus élevé, soi 450 ch à 8250 tr/m contre 420 ch à 7800 tr/m sur la GT du constructeur. Ce moteur se dintingue d'une par ses hauts régimes et une large plage de disponibilité avec 430 nm entre 4000 et 6000 tr/m et d'autre par sa puissance spécifique importante de 105 chevaux par litre. Il est d'office associé à la boite de vitesse à double embrayage S-Tronic à 7 rapports avec palettes au volant. L'avantage de ce type de boite est leurs capacités à pourvoir enchainer les rapports à la volé que ce soit en montée ou en descente. Toute la fougue de cette motorisation passe au sol via la transmission intégrale permanente Quattro dont la répartition de couple est typé propulsion avec 60 % à l'arrière contre 40 à l'avant.
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| La RS5 a profité du restylage de 2012 en adoptant les nouveaux optiques avant et arrière. |
Le châssis à été rabaissé de 2 cm par rapport à la S5 et les freins en acier sont d'une dimenssion plus généreuse avec des disques de 366 mm mordus par des étriers à 8 pistons à l'avant et 325 mm mono piston à l'arrière. Ils peuvent etre remplacés par des carbones céramiques encore plus puissant en option. Les jantes aluminium de 19 pouces sont chaussés de pneux en 265/35 à l'avant comme à l'arrière.
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| Un concept de RS5 à base de V6 TDI fut mise au point dans un but expérimental. 385 ch et 750 nm. |
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